Financer le projet “Africa Digital Rescue”
Le développement d’une nation et par ricochet celui d’un continent passe par une éducation rigoureuse et adaptée à l’évolution du monde actuel. Selon la Banque Mondiale, le taux d’analphabétisme en Afrique subsaharien s’élèverait à plus de 60%. Dans le même temps, selon vie-publique.fr, 60% de la population africaine auraient moins de 25 ans. Il va sans dire qu’une écrasante majorité de jeunes africains n’ont pas accès à l’éducation dont ils ont besoin pour se construire, s’épanouir et développer leurs nations.
Sans aucune compétence et misant sur leur force physique et leur capacité d’adaptation développée dans un environ hostile où chaque jour est un jour de combat pour se nourrir, une partie de la jeunesse africaine a fait le choix de l’exil, de l’immigration clandestine : quitte à y laisser leur vie.
Drame après drame l'Afrique se meurt
Chaque année, des dizaines de corps de migrants noirs africains sont repêchés dans la Méditerranée. Récemment une trentaine de migrants a d’ailleurs perdu la vie en essayant de de pénétrer l’enclave espagnole de Melilla via le Maroc. Et à chaque fois, l’émotion est vive. Indignation, révolte, frustration, colère, tristesse…, sont entre autres les sentiments qui nous animent à la vue de ces corps inanimés qui auraient pu être nos frères, nos sœurs, nos amis…
Mais que faisons-nous concrètement ? Nous condamnons nos gouvernements de ne pas prendre les mesures nécessaires afin d’aider la jeunesse. Nous pensons, dans notre confort de vie, que nous n’avons pas le pouvoir de changer les choses. Pourtant, chaque individu peut changer à sa manière la société en agissant selon ses capacités.
Ensembles, nous pouvons changer les choses
Il y a une phrase que nous avons l’habitude de dire « quand je serai riche, j’aiderai les pauvres ». Mais pourquoi attendre d’être riche pour aider son prochain. Mon parcours personnel m’a fait comprendre que si nous attendons d’être riche pour aider les autres, nous ne le serons jamais assez pour aider les autres à la hauteur de leurs besoins. Donc donnons le peu que nous avons qui loin d’être ridicule peut sauver des vies.
Voir le drame de melilla
Donner à la Croix rouge, à Unicef, Médecins Sans Frontière… Sillonner avec des associations les rues de Toulon pour offrir des repas et des habits aux sans-abris, m’a permis de voir qu’il était possible d’aider autrui sans être riche. Il suffit de donner un peu de soi pour donner du sourire et rendre le monde meilleur.
Nous n’avons pas besoin d’être millionnaire pour aider les autres. Donner 1 Franc, c’est déjà beaucoup. Croyez-moi !– Ghislain KODJO
Grâce au projet « Africa Digital Rescue », piloté par l’association « Suuru Léré », nous comptons donner aux jeunes défavorisés, grâce à la solidarité et la bonne volonté des uns et des autres, la chance d’accéder à un emploi ou d’en créer eux-mêmes afin de s’épanouir dans la société.
Africa Digital Rescue : kesako ?
Africa Digital Rescue est un projet social et solidaire ayant pour but d’aider la jeunesse africaine à s’épanouir en Afrique et à être fière de ce continent. Africa Digital Rescue en quelques points, c’est :
- Une résidence de 15 suites ( chambres + coin bureau + salle de bain moderne + dressing)
- 3 salles de cours modernes équipées de mobilier pour élèves + ordinateurs + Vidéo projecteurs + climatiseur + Connexion par fibre)
- 2 cuisines modernes équipées
- 1 réfectoire
- Une salle de sport
- Une salle de cinéma
- Une bibliothèque moderne équipée
- Un espace vert
- 20 places de parking ouvert dans l’enceinte de la résidence
Des formations qui répondent aux besoins professionnels actuels !
Dans cette résidence qui fait en même temps de centre de formation, seront dispensées chaque année des formations en :
- Webmarketing
- Rédaction Web
- Graphisme
- Développement web
- Production audiovisuelle
- Etc.
Outre l’axe digital, Suuru Léré aimerait mettre l’agriculture au centre de ses priorités. Cela passera par l’acquisition de plusieurs hectares de terres agricoles dans les villages africains et la culture de denrées de premières nécessités destinées à la consommation locale. Les jeunes dans les zones rurales de nos pays seront mis à contribution pour cultiver et transformer des produits tels que :
- Le manioc
- Le maïs
- Le Haricot
- La tomate
- Le Sorgho
- Etc.
